Psychanalyse

Nous allons prendre deux facteurs en compte :
- Tout enfant normalement consitué venant d'une civilisation occidentale a deja joué aux cubes au moins une fois.
- La partie inconsciente de notre psychisme se forme durant notre prime enfance.

Notre manière de vivre (phobies, névroses, obsessions) est donc en quelque sorte conditionnée par notre histoire, nos parents...etc.
En voici une preuve flagrante : l'architecture de notre société. En effet, la plupart des habitations modernes sont de forme cubique. On peut donc s'interroger sur le psychisme de l'architecte.
En effet, si l'on suit les théories de Freud, on peut donc déduire que les architectes ont eu une expérience spéciale avec les cubes. Jouaient-ils aux cubes plus que la moyenne? Ont-ils tenter d'avaler un cube, ce qui les a traumatisés à vie? Se sont-ils pris un/des cube(s) sur la tête? Tant de questions... Peu de réponses. Mais il y a forcément quelque chose, car Freud affirme que "le moi n'est pas maître dans sa propre maison.". Une expérience de l'enfance les a donc rendu cubomaniaques.
C'est fou ce qu'on peut dire quand on a rien à dire...

Sinon plus serieusement, cette photo a été mûrement préparée. Ce petit immeuble se trouve sur mon chemin quand je rentre du lycée. J'ai l'habitude de tout observer quand je marche et il n'a donc pas échappé à mon regard... Sauf que je n'avais pas mon appareil photo sur moi. Je l'ai donc pris les jours suivant, mais il y avait une mauvaise lumière.
Cependant, un beau jour de novembre, il se trouve que j'avais mon appareil sur moi et que la lumière était superbe. Le soleil commençait à peine à se coucher et cette face de l'immeuble était pleinement éclarée. Je l'ai ensuite passée en noir et blanc, trouvant que les contrastes et le reliefs y étaient plus présents.
Ca sera ne sera donc pas une photo très récente aujourd'hui, mais avec toute la neige et le froid, j'ai franchement la flemme de sortir.

Aujourd'hui, pas de morale, mais une citation tirée d'une nouvelle que j'aime bien : La terreur me quitta progressivement, faisant place à la surprise, au respect et à la compassion, car les sons émis par la créature allongée sur le calcaire venaient de nous révéler une terrible vérité : ma victime, l'étrange habitant de l'antre insondable, était, ou avait été un jour, un homme!!! "La bête dans la caverne" H.P. Lovercraft, 1905. Lovercraft est un auteur à lire d'urgence si vous aimez le fantastique.